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LUTTES CONTRE LES DISCRIMINATIONS ET POUR L'EGALITE

LUTTES CONTRE LES DISCRIMINATIONS ET POUR L'EGALITE
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10 mars 2009

ALORS ? Gerbant ?

untitled

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gay1foot

gay_bisous

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lesbienne

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10 mars 2009

ENGAGEZ VOUS !

Contrairement à sa collègue Kate Winslet, ce n'est pas la première fois que Sean remporte un Oscar: il était déjà reparti avec la précieuse statuette en 2003, pour son rôle dans Mystic River. C'est pour son interprétation d'Harvey Milk, politicien homosexuel assassiné en 1978, que Sean a raflé le prix sous les yeux émus de son épouse Robin Wright. Dans son discours de remerciement à voir ci-dessous, l'acteur a défendu le mariage gay et l'égalité des droits sous des tonnerres d'applaudissements. Pour finir, il a lancé un clin d'oeil à son pote Mickey Rourke, qui revient de loin!

sean_penn

http://www.ninapeople.com/discours-de-sean-penn-aux-oscars---video-a18805.html

10 mars 2009

des gens de la tv ?

steevie_boulaysevranmort300

10 mars 2009

EN FRANCE , ça vous gène pour les politiques ? !

le maire de Paris à gauche

delanoe_bertrand

à droite

roger_karoutchi

10 mars 2009

Un virage vers l'intégration et chère Françoise

Figure centrale du FHAR, la française Françoise d'Eaubonne envisage ainsi en 1971 le futur de la libération gaie : « Vous dites que la société doit intégrer les homosexuels, moi je dis que les homosexuels doivent désintégrer la société[4] ».

Mais vers la fin des années 1970, le contexte change et le radicalisme qui avait tant marqué jusque là les mouvements des noirs, des femmes, des habitants du tiers-monde etc., s'estompe peu à peu. Le mouvement gai ne fait pas exception.

Au mouvement de libération gaie succède donc le mouvement pour les droits des gais et lesbiennes, un mouvement dit « intégrationniste ». Les cibles changent et les moyens de les atteindre aussi. Les nouveaux militants, souvent des professionnels en communication ou en droit juridique, ne réclament plus l'abolition du « capitalisme sauvage », de l' « hétéropatriarcat » et autres structures sociales. Désormais, les revendications sont davantage pragmatiques et tournées vers les besoins d'une communauté désireuse de s'intégrer au reste de la société: obtention d'un accès égal à l'armée, à l'institution du mariage et à l'homoparentalité.

Ce ne sera pas pour autant la mort d'un militantisme plus conflictuel et politique[5]. L'émergence de mouvements comme Act Up, Queer Nation et les Lesbian Avengers dans les années 1990, ou encore les Panthères roses [6] au début du 21e siècle, réanime à l'occasion l'esprit de Stonewall

Francoise_and_pit

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10 mars 2009

ATTENTION A LA PENSEE RADICALE !!!

Au Québec, en France et ailleurs, le marxisme a la cote chez les partisans de la libération homosexuelle. Leur imaginaire est formé par l'analyse révolutionnaires et marxistes, mais auxquels s’ajoute une touche de dérision qui les distingue de la rigueur des marxistes-léninistes conventionnels.

Une chanson, écrite par Marie-Jo bonnet et chantée au cours du Tribunal de Dénonciation des crimes contre les femmes organisé par le MLF à la Mutualité de paris en 1972 montre l'engagement des "Gouines Rouges" en faveur d'un changement radical de la société: « A bas l’ordre bourgeois/ Et l’ordre patriarcal/ A bas l’ordre hétéro/ Et l’ordre capitalo/ Nous les gouines, les lesbiennes/ Les vicieuses, les infâmes/ Nous aimons d’autres femmes/ Nous briserons nos chaînes/ Ne rasons plus les murs/ Aimons-nous au grand jour » .

La désinvolte caractéristique des radicaux tire peut-être son origine de la position particulière qu’ils occupent dans le mouvement marxiste de l’époque. Alors que les autres radicaux en appellent à la fin de l’oppression dans l’usine, dans le tiers-monde et dans la société en général, le discours des homosexuels cible quant à lui spécifiquement l’oppression exercée dans les chambres à coucher. Les uns occupent donc le domaine public, les autres le domaine privé. Le fossé prend parfois des dimensions problématiques.

L'auteure Margaret Cruikshank prétend entre autres dans son ouvrage The gay and lesbian liberation movement, que « la libération gaie ne pouvait pas être complètement assimilée par la gauche (…) étant donné sa forte nature chaotique. En plus, la libération gaie tend à promouvoir un haut degré d’individualisme du fait évidemment qu’elle s’est alimentée à même des expériences privées qui ont conforté l’impression d’être différent des autres ».[réf. nécessaire] La cause sexuelle (et la cause féministe dans une moindre mesure) se transforme par conséquent en sujet de discorde, au point qu'elle précipite parfois la rupture au sein de groupes marxistes. En France par exemple, le mouvement Vive la Révolution (à tendance maoïste-libertaire), en vient à être totalement dissuolu, après qu’une édition spéciale de leur journal d’opinion, portant sur l’homosexualité et appuyé vivement par un porte-étendard du mouvement (Jean-Paul Sartre), a levé un tonnerre de mécontentement, notamment chez les syndicalistes ouvriers. [réf. nécessaire]

Mis à part de tels épisodes, les années libérationnistes demeurent une époque de grande convergence. Alors que la solidarité apparaît parfois comme allant de soi, notamment entre les mouvements gai et féministe, elle se montre d’autres fois plus surprenante. Dans son Gay Manifesto paru en 1970, l’Américain Carl Wittman appelle ainsi les autres homosexuels à soutenir la lutte des femmes, des hippies, des blancs radicaux, mais également la libération des latinos et des noirs américains, dont le discours peut pourtant tendre vers le machisme à l'occasion.

Tel un jeu de boomerang, les autres mouvements de libération se rangent à leur tour derrière le combat des homosexuels. Huey Newton, leader des Black Panthers, exprime en ces mots sa solidarité avec la cause gaie : « nous le savons tous bien, notre première impulsion est souvent de vouloir mettre notre poing dans la figure des homosexuels, et de vouloir qu’une femme se taise... Nous devons perdre ces sentiments d’insécurité (…). Ils (les gais) sont peut-être la couche la plus opprimée au sein de cette société… Le Front de libération des femmes et le Front de libération des homosexuels sont nos amis[2] ».

10 mars 2009

MOUVEMENT DE LIBERATION GAY !!!

Dans les années 1960, la société occidentale entreprend une révolution sexuelle qui tente de mettre à bas le patriarcat qui la corsetait jusqu'alors. Pour sa part, la communauté homosexuelle a senti l’importance de s’organiser politiquement pour se défendre contre l'homophobie et les persécutions qu’elle subissait. Le militantisme a connu deux phases successives : dans les années 1970, le mouvement de libération gaie est radical et révolutionnaire ; à partir des années 1980, le mouvement pour les droits des gays, qui prédomine encore aujourd'hui, est intégrationniste.

stown

L'épisode Stonewall

Bien que des noyaux existaient déjà aux États-Unis (Mattachine Society, Daughters of Bilitis), en France (revue Arcadie) et ailleurs, le mouvement gai devait véritablement faire son coming-out en juin 1969, au cours des célèbres émeutes de Stonewall qui explosent à New York autour du bar Stonewall Inn.

Fréquenté surtout par des travesties porto-ricaines et des lesbiennes, cet établissement du quartier Greenwich Village fait l’objet en cette soirée du 22 juin d’une descente policière. Pour les clients, c'est une descente de trop. Le bar et les rues autour s’embrasent. Des policiers sont pris en otage et un flot continu de bouteilles déferle sur les quelques 400 policiers, qui doivent affronter pendant deux jours plus de 2 000 émeutiers déterminés.

À partir des émeutes de Stonewall, la poignée de militants de la cause homosexuelle qui existait se mute en une armée d’activistes, qui vont bientôt frapper dans tous les pays occidentaux.

Le Front homosexuel d'action révolutionnaire :

En France, les tenants de la libération gaie frappent pour la première fois au début de l’année 1971. Regroupés au sein du Front homosexuel d'action révolutionnaire (FHAR), dont Guy Hocquenghem est l'un des principaux animateurs, ils interrompent avec succès une tribune de radio, animée par Ménie Grégoire, qui porte en ce 10 mars 1971 sur le thème : « l’homosexualité, ce douloureux problème ».[1] Le gros du commando est alors constitué de lesbiennes, parmi lesquelles de nombreuses militantes féministes et notamment l’écrivaine Monique Wittig. Au fil des mois toutefois, le FHAR comporte une composante masculine en croissance constante.

L’auteur de l’Anthologie de l’anarchisme, Daniel Guérin compte entre autres parmi les nouveaux membres. Il cadre d'ailleurs parfaitement avec l’esprit libertaire qui règne dans le groupe. « Démocratie directe » et « rejet du vedettariat » font en effet partie de leur culture politique. Enfants de Mai 68, les membres du FHAR ressentent un vif besoin de vivre leur idéologie au concret. Des sommités comme Guérin ou Françoise d'Eaubonne iront ainsi jusqu'à se déshabiller en pleine assemblée générale, pour vivre jusqu'au bout leur discours sur la libération du corps.

La présence de plus en plus hégémonique des hommes au sein du FHAR, ajoutée à la « dérive libidineuse »[réf. nécessaire] de ces derniers, vont finir par pousser les femmes à s’organiser entre elles. Un schisme se produit ainsi et les lesbiennes radicales forment à l’invitation de Monique Wittig, le groupe des Gouines rouges, qui tombera plus ou moins dans l’orbite du Mouvement de libération des femmes (MLF).

gaypride

27 février 2009

Qu'est ce que ça veut dire ????

La psychanalyse explique quant à elle que l'homophobie peut être le résultat de désirs homosexuels refoulés, ce qu'un test récent de l'American Psychologist Association tend à prouver : sur un public d'hommes se disant hétérosexuels — et se déclarant homophobes ou non — auxquels l'on a fait visionner des images érotiques homosexuelles, 44% des non homophobes ont montré des traces d'excitation, contre 80% des homophobes. De même, 24% des non homophobes étaient en érection complète contre 54% pour les homophobes. La méthode ayant servi à ces mesures ainsi que le compte-rendu sont disponibles en ligne. Toutefois, les auteurs eux-mêmes de l'expérience soulignent que l'anxiété augmente l'excitation sexuelle, que cela a pu contribuer à augmenter les résultats des homophobes, et que d'autres expériences sont nécessaires pour trancher. On trouve donc le plus grand nombre d'homophobes parmi les hommes, surtout les jeunes.

Néanmoins, l'homophobie est aussi culturelle ; ce n'est ni une peur innée ni une réflexion construite qui en est à l'origine, mais souvent un trait culturel acquis au contact d'une société globalement homophobe par habitude. Beaucoup des jeunes se disant dégoûtés par l'homosexualité n'ont en effet aucun avis réel sur la question et ne sont pas capables d'expliquer leur homophobie. Celle-ci fait partie de la culture dans laquelle ils se développent, souvent influencée par la religion (consulter Homosexualité et religion à ce sujet). Dans de nombreux cas, à la question « pourquoi êtes-vous dégoûté par l'homosexualité ? », la seule réponse est assez évasive : « parce que c'est dégoûtant », soit un argument d'autorité : « parce que la Bible / le Coran / ... telle ou telle personne l'a dit ». L'homophobie culturelle peut même être facilitée par un cadre légal discriminant, soit par interdiction de l'homosexualité, soit par l'établissement d'une différence entre les âges de la majorité sexuelle selon que la relation est hétéro- ou homosexuelle, soit par l'interdiction du mariage aux homosexuels... C'est pourquoi la majorité des militants gays revendiquent l'égalité des droits.

homophobiebebe

27 février 2009

EN FRANCE ? LUTTONS ENCORE ET ENCORE JUSQU'A L'EGALITE HETERO=HOMO

En France, la loi du 30 décembre 2004 crée la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité et dispose en son titre 3 en complément de la loi sur la presse de 1881 de stipulations plus spécifiques qui font notamment des délits de l'injure, la diffamation, l'incitation à la haine ou à la discrimination à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle ou de leur handicap.

Ainsi que dans quelques autres pays dans le monde, lorsque le mobile d'une agression physique ou d'un meurtre est l'orientation sexuelle de la victime, la loi aggrave les peines qui sont normalement données. Les peines présentées sont moins fortes quand ce n'est pas dans le cadre d'actes homophobes (voir le code pénal).

Renforcement de la lutte contre les propos discriminatoires à caractère sexiste ou homophobe [modifier]

Article 20 Après le huitième alinéa de l'article 24 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Seront punis des peines prévues à l'alinéa précédent ceux qui, par ces mêmes moyens, auront provoqué à la haine ou à la violence à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle ou de leur handicap ou auront provoqué, à l'égard des mêmes personnes, aux discriminations prévues par les articles 225-2 et 432-7 du code pénal. »

Article 21 La loi du 29 juillet 1881 précitée est ainsi modifiée : 1° Après le deuxième alinéa de l'article 32, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Sera punie des peines prévues à l'alinéa précédent la diffamation commise par les mêmes moyens envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle ou de leur handicap. » ; 2° Après le troisième alinéa de l'article 33, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Sera punie des peines prévues à l'alinéa précédent l'injure commise dans les mêmes conditions envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle ou de leur handicap. »

Il faut néanmoins remarquer que le mot « homophobe » n'est pas défini, ni même employé, dans ladite loi.

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27 février 2009

EN EUROPE ? ARRETER LES COMPARAISONS DOLLAR EURO !!

Le 15 juin 2006 le Parlement européen a adopté une résolution sur la montée des violences racistes et homophobes en Europe demandant des sanctions contre les pays membres qui ne lutteraient pas contre ces discriminations allant à l'encontre de la Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne et du traité instituant la Communauté européenne qui interdisent « toute discrimination fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, les origines ethniques ou sociales, les caractéristiques génétiques, la langue, la religion ou les convictions, les opinions politiques ou toute autre opinion, l'appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance, un handicap, l'âge ou l'orientation sexuelle ».

boulecristal__conomie

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